mercredi 15 septembre 2010

Marissa Nadler







Si quelques filles ont été suggérées ici, une seule, s'il fallait n'en choisir qu'une, pourrait glaner tous les suffrages-frissons. Des larmes indélébiles jaillissent, blessé par un « Stallions » blème. Nous savons , accueilli pas toutes ces nymphes, et pourtant nous n'avons jamais entendu de telles chansons, cueilli sur des sentiers de feuilles mortes au beau milieu d'une forêt d'hiver. Le frimât saisit, mais l'accord réchauffe, une certaine idée du nirvana, en attendant, un refuge abrite, le dernier peut être. « Mayflower may » achève et entrouvre: chaque montée vocale est une menace sylvienne. « Silvia », dans d'autre temps, sur un autre label chantait l'antre de ma mie, des forêts entières noyées de branchages et de brindilles en sommier sur lequel je me suis allongé pour gouter le sucre des arpèges, la caresse des mélodies, le venin des murmures, puis le sel des baisers, l'amertume des jalousies, le piment aux joues, le cœur diamant.
quand on aime éperdument : "diamond heart"; "mexican summer"; "silvia"; "stallions"; "mayflower may"; "thinking of you"........ hope sandoval; jane weaver, joan baez........
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